A l'occasion de la fêtes des mères dimanche dernier, madame Chantal de Souza Yayi, Première Dame du Bénin, a condamné le rapt des 200 jeunes filles nigérianes par le groupuscule terroriste Boko Haram.
Dans un message diffusé, la Première Dame déclare "je ne peux taire mon appréhension pour les jeunes filles enlevées par la secte Boko Haram au Nigeria. Je condamne vivement cet enlèvement et je m’associe au mouvement 'Bring back our girls' initié par la Première dame des Etats-Unis. Je soutiens toutes les actions qui seront menées pour le retour des jeunes filles dans leurs familles respectives".
Depuis l'enlèvement, plusieurs ONG béninoises sont mobilisées pour dénoncer cet acte. Des marches de protestations, des prières et d'autres manifestations sont menées à Cotonou pour réclamer aux ravisseurs la libération des jeunes filles nigérianes.
Au Nigéria, l'armée a reçu le soutien d'experts et de matériel envoyés par les Etats-Unis et la Grande Bretagne. Les pays occidentaux restent mobilisés pour retrouver les lycéennes.
Dans un message diffusé, la Première Dame déclare "je ne peux taire mon appréhension pour les jeunes filles enlevées par la secte Boko Haram au Nigeria. Je condamne vivement cet enlèvement et je m’associe au mouvement 'Bring back our girls' initié par la Première dame des Etats-Unis. Je soutiens toutes les actions qui seront menées pour le retour des jeunes filles dans leurs familles respectives".
Depuis l'enlèvement, plusieurs ONG béninoises sont mobilisées pour dénoncer cet acte. Des marches de protestations, des prières et d'autres manifestations sont menées à Cotonou pour réclamer aux ravisseurs la libération des jeunes filles nigérianes.
Au Nigéria, l'armée a reçu le soutien d'experts et de matériel envoyés par les Etats-Unis et la Grande Bretagne. Les pays occidentaux restent mobilisés pour retrouver les lycéennes.